Premières heures du jour, une belle luminosité. Des bateaux colorés dodelinent au gré du vent qui caresse paisiblement la mer.
Peint de bleu et blanc, sans doute le plus petit bateau qu’il nous ait été donné de voir (le rikiki tout à gauche).
Un sable veineux, des galets humides.
Des plateaux et leurs vertes terrasses.
Des habitations habillées de tons blancs et orangés.
Une église accueillante et solaire.
Une vue d’ensemble, celle-là même peint par Winston Churchil en 1950.
De Câmara de Lobos je garderai le souvenir d’un port qui s’éveille.
XOXO
☆Claire-Line☆
Article non sponsorisé.
De chouettes photos qui donnent envie d’y aller !
Madère mérite effectivement que l’on s’y arrête.